vendredi 8 février 2008

La Tague d'Ondine


Découvrez Ondine, le nouveau banc urbain modulable, création de Michaël Bihain pour Parckdesign ’07.

OK je me prête au jeu de tague d'Ondine. Le hic, c'est que je n'ai plus personne à taguer sur la petite communauté virtuelle dont je fais partie. Je vais donc faire une entorse au règlement (je suis spécialiste:-), épargner les déjà tagués, mais essayer au moins de vous en donner pour votre argent avec mes six choses sans importance.

1. J'aime tellement les romans de Douglas Kennedy et de Ken Follett que je les ai tous lus au moins quinze fois, et je n'exagère pas.

2. J'adore le junk-food sous toutes ses formes (mon best, c'est le combo hot dog vapeur, poutine et coke diet à la Friterie de Ste-Adèle.

3. Quand je suis pris dans un embouteillage, je hurle et je sacre dans mon char comme un vrai tabarnacos. Ensuite je m'efforce sans succès d'être zen.

4. Jadis autrefois;-), j'ai donné un concert en queue-de-pie et...bottes de travail (j'avais oublié mes chaussures à la maison et comme j'avais la bonne habitude d'arriver un gros deux minutes avant de monter sur scène, c'était ça ou pas de concert.

5. Je suis allé dernièrement chez une amie et j'avais oublié où elle demeurait, et je n'avais aucun moyen de la joindre, si bien que j'ai sonné à toutes les portes de la rue et j'ai presque terrifié une vieille dame qui était sur le point de téléphoner à la police.

6. Il y a quelques semaines, un événement m'a rendu tellement furieux que je me suis garroché dans mon auto, fait le plein d'essence et j'ai oublié de payer. Un plein d'essence gratos, mais je vous dis pas où!

Un chausson avec ça?

jeudi 7 février 2008

Ravel-Adagio du Concerto pour piano en Sol par Herbie Hancock)


...Je me demande ce que Ravel en aurait pensé...


...Je pense qu'il aurait beaucoup aimé.


L'exploration et la fascination de Ravel pour le jazz trouvent à mon avis une réponse logique dans cette géniale interprétation de Herbie Hancock de l'Adagio du Concerto en Sol de Maurice Ravel. Une pure merveille.

vendredi 1 février 2008

Héloïse au piano


Elle s'appelle Héloïse.


Elle a des yeux qui veulent saisir la terre entière, le regard vif, brillant, et l'oreille à l'affût...


Elle écoute avidement la musique qui émane de cet étrange et énorme instrument...Les sonorités aigües la font sourire, elle fronce les sourcils d'un air désapprobateur lorsqu'elle croise le registre grave...Elle était ici il y a quelques jours avec Martine et maman Dolorès...


Elle est le rayon de soleil qui a réchauffé un froid après-midi de janvier...


Croyez-le ou non, c'est ma plus jeune élève!